Le vaccin contre le papillomavirus humain, virus aussi appelé HPV (Human Papilloma Virus), permet d’éviter les deux tiers des cancers du col de l’utérus* Ces maladies sont toujours d’actualité avec une nette recrudescence chez les personnes infectées par le VIH en raison des comportements à risque. L’immunodépression des patients les rend plus vulnérables, les IST (infections sexuellement transmissibles) sont plus sévères. Le meilleur moyen de s’en protéger passe par la prévention. Des auto-tests de dépistage de l’infection par le VIH sont désormais disponibles en France. Ils sont en vente libre dans les pharmacies. Ces tests, qui peuvent être réalisés et interprétés par la personne elle-même dans le lieu de son choix, viennent compléter l’offre de dépistage déjà disponible. Trouver un préservatif dans une poche ou dans la chambre de votre fils peut effectivement vous déstabiliser. Si la question de la sexualité a déjà été abordée entre vous, voilà qui illustre le fait que votre discours sur l’importance de se protéger porte ses fruits. Sinon, saisissez l’occasion pour en discuter. La puberté, qui correspond au passage de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte fertile, se caractérise par des modifications physiques, hormonales et psychologiques. Vous désirez débuter une grossesse. Vous vous interrogez sur les facteurs qui influencent votre fécondabilité. Si l’âge est un élément déterminant, en particulier chez la femme, il n’est pas le seul ; certains comportements ou modes de vie permettent d’optimiser la fertilité naturelle. Voici quelques conseils à suivre pour mettre toutes les chances de votre côté d’être bientôt parents. L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est autorisée jusqu’à 12 semaines de grossesse (soit 14 semaines après le début des dernières règles). Les mineures ont accès à l’IVG dans le respect de certaines règles. La meilleure contraception c’est celle que l’on choisit. A travers ce site, l’INPES répond aux nombreuses questions qui concernent la contraception sous toutes ses formes. Une dysfonction érectile, ou problème d’érection, peut se produire occasionnellement chez l’homme ou, au contraire, s’installer durablement. Les raisons de ce trouble fréquent de la sexualité sont nombreuses et, généralement, les solutions apportées en dépendent. La pilule, comme l'anneau ou le patch, est une contraception oestroprogestative. Lorsqu'elle est bien prise, c'est un moyen de contraception efficace à près de 100 %, mais elle ne protége pas contre les infections sexuellement transmissibles comme l'hépatite B ou le VIH/sida. Oublis de pilule, problèmes de préservatif, ou rapport non protégé en général, posent la question d’une contraception d’urgence ou pilule du lendemain plutôt que le recours à une interruption volontaire de grossesse. Cette méthode est efficace mais attention : elle n’est pas sûre à 100 %. La prévention de la transmission du VIH (virus de l’immunodéficience humaine) entre adultes repose essentiellement sur l’utilisation de préservatifs et de seringues stériles à usage unique. Toute femme diabétique peut bénéficier d’une contraception. Cependant, le diabète peut influencer le choix de la méthode. La collaboration avec le gynécologue va vous permettre d’opter pour la méthode contraceptive qui vous convient le mieux. Le diabète est parfois à l’origine de troubles de l’érection très handicapants dans votre vie intime. Les difficultés liées à la sexualité doivent être abordées en consultation, car nous disposons aujourd’hui de solutions efficaces pour les surmonter. Les troubles sexuels peuvent être la conséquence d’une maladie, de la prise de certains médicaments ou des suites d’une intervention. Le plus souvent, ils sont d'ordre psychologique. Ils sont plus fréquents chez l’homme que chez la femme. Le cancer et ses traitements peuvent avoir des conséquences importantes sur la sexualité masculine. Ces difficultés, même passagères, peuvent être difficiles à accepter. En cas de nécessité, le sperme peut être conservé pendant de longues années sans perdre le pouvoir fécondant des spermatozoïdes. La maladie et ses traitements peuvent avoir un impact sur la sexualité. Cela est différent chez l’homme et chez la femme. L’asthmatique doit pouvoir avoir une vie sexuelle harmonieuse. Hélas, la sexualité fait encore trop souvent partie des préoccupations dont on n’ose pas parler. X. est responsable associatif. Il est séropositif sous traitement. Il a dû affronter sa séropositivité pour aller vers les autres. |